Chroniques vinyles
15
Juil
1999

Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note !

On ne sait jamais ce qui passe par la tête des concepteurs de ce genre de chose…

Pourquoi avoir enfermé dans un coffret cartonné plutôt chouette trois albums (qui plus est dans des pochettes de papier de différentes textures / épaisseurs) qui ne se suivent pas tout à fait (High voltage, Dirty deeds done dirt cheap et Powerage, mais où est Let there be rock à moins que celui-ci fût mis de côté pour le marketing du film du même nom qui sortira la même année ?) et un 7’’ EP avec trois - magnifiques - vieilleries (A : Baby please don’t go / Jail break (Sic) / B : Soul stripper) ?

Est-on déjà contraint chez Atlantic, voire chez le groupe en plein deuil, de prouver que malgré un malheureux Bon Scott décédé le 19 février de la même année, tout n’est pas mort au sein gang Young ? À moins que le label ait voulu comme beaucoup faire feu de tout bois après le succès fulgurant du fabuleux Highway to Hell ?

Toujours est-il qu’il n’y a rien à jeter dans le AC/DC Seventies, alors on prend, on garde, on use jusqu’à la corde, on aime tant.

Poster inclus.

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