Jamais quatre sans cinq, c'est déjà la fin mais voilà pas l'affiche de malades !
On devrait toujours se méfier des animaux quand on les dérange dans leur logis !
À chaque soirée son début, c'est cette fois-ci un enterrement de vie de jeune fille mené par un vélo minuscule et, trônant dessus, une fille à ballons, que nous croisons sur la route !
Rebelote pour une soirée très blues sous un soleil de plomb comme à peu près partout dans ce pays dont c’est la fête mais où le feu est sans artifice, de nuit comme de jour, le sommeil s’en ressent.
Cette satanée épidémie n’a pas duré autant, cela fait pourtant onze ans qu’on n’avait pas mis les pieds au Stade des Burgondes, argh 1 !
Première édition des Déferlantes à Céret et si l’affiche est comme d’habitude énorme, les dysfonctionnements ont écœuré une grande partie du public, les commentaires colériques fusent de partout et il y a de quoi.
Avant, les voyages commençaient par un apéro, se poursuivaient par un apéro roulant avant l'arrivée devant la buvette qui laissait place ensuite au pack de voiture sur le parking, avant le digestif sur le retour.
La vie réserve parfois des surprises, une invitation à aller voir SCORPIONS en bande de potes ne se refuse pas,
Comme on en a pris l'habitude depuis des années, on ne se limite jamais au concert même, on cause aussi du voyage, des atmosphères qui précèdent avant de livrer un reportage tout à fait personnel de ce qui nous est passé entre les yeux et les oreilles, un peu comme le chiffon dans Don Salluste.
Quand on pense que quatre places pour le concert étaient à gagner ici et que seul un frangin a répondu présent, c'est à se demander où est passée la curiosité.
Ne partez pas sans avoir "aimé la page", retrouvez tous les articles, vidéos et reportages sur votre mur. Soutenez Nawakulture en vous abonnant à la page Facebook et en partageant les chroniques.