Merci les Brescoudos 1 mais franchement, c’est de la triche !
Commencer par le morceau préféré de Nawakulture Live wire c'est presque un péché mais quel bonheur, même si on voit pour le moment plus de « photographes » et de « vidéastes » que de courageux devant la scène. Il faut dire pour la défense des amateurs de visuel que jamais AC/DC n'aura sonné aussi sexy, félin et sauvage à la fois, et les Dirty deeds done dirt cheap, Whole lotta Rosie (avec leur homme gonflable nommé Bobbie), Back in black, T.N.T., Shoot to thrill, Rock or bust, It’s a long way to the top (dont les cornemuses sont squizzées au profit de chants gouailleurs du plus bel effet), The Jack (avec cajon et version masculinisée : cette fois HE’s got the jack), If you want blood, Bad boy boogie (sur lequel la jolie Angus maison, Marion, nous la joue strip tease au point que Bobbie finit même par perdre la tête et slammer, fallait pas l'gonfler !), Big balls (joli cadeau surprise merci les filles !!) s’enchaînent sans transition ou presque tout le long. Et on n'a jamais autant aimé les Cerise quand celle-ci balance le riff de Highway to Hell qui sera suivi de Riff raff et For those about to rock (sur lequel il n’y aura pas vingt-et-un canons mais bien cinq sur scène) mais, mais… Pas de putain de Ballbreaker bordel ? Scandaaaaale !!
Les LADIES BALLBREAKER se taillent un beau succès, maîtrisent terriblement bien la scène, on aime aussi le fait que Marion constelle ses soli de références discrètes mais habiles, on est pressé de revoir un show pareil même si ici on a toujours détesté les groupes de reprises, celui-ci a clairement des arguments inattaquables et on ne parle même pas du physique bande de machos ! Ah et puis ne venez pas nous demander pourquoi Paul Riquet, juché en fond de scène, à la tête penchée, les cervicales à cet âge, c’est fragile !
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