Chroniques concerts
21
Avr
2015

Il est minuit mais je parais plus jeune... 

 

 

Ma chère ruelle des morts, et tout particulièrement mon cher Yannick, ne manquait à cette soirée que la houle de ton rire fou car... 

 

...une fois de plus, Hubert-Félix vous aurait sûrement tous ravis, car le beau capitaine du bateau ivre tient toujours fermement la barre avec à bord un son costaud et des lumières superbes, avec une putain de pêche en sus, et si le gig passe pour un peu moins punkoïde qu’avec Iggy, reste une chanson savamment rock, la poésie d’un décibel qui prend soudain la forme d’un fluide qui lie l’un à l’autre dans la ferveur d’un spectacle qui fait, enfin, oublier l’instant et propulse, enfin, l’auditeur ailleurs. 

 

Alors peu importe toutes les chimios du monde, on discute ici entre âmes, les corps n’ont plus que l’importance du balancier qui rythmera un voyage dans un monde à part, où les chevaux sont partis courir, je crois que je vais faire pareil. Le recueil évoquera aussi en vrac la Médiocratie, un vol d’âme à un clown, un salut du fond de l’inutile, Staline et Beria, les autoroutes un jeudi d’automne, un alligator, La Stratégie de l’inespoir, les fastes de la solitude, Les dingues et les paumés etc. 

 

Frères humains, il fallait être là. Je vous attends encore. 

 

Sinon, oserais-je que les voix des inamovibles fans de La Fille du coupeur de joint auraient leur place dans un stade de foot d’un autre genre ?!

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