Chroniques CD
12
Aoû
1999

Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note !

Ouais parce que nous on est comme ça en France, on a des éditions limitées et signées et...interdites à la vente...

Blablabla le truc imprimé à un milliard de copies (Ah non, 3000, c’est écrit, promis et juré) totalement on s’en fout, d’abord là il y a une pochette qui botte les fions, à l’époque on se dit même que c’est reparti pour la gloire et tout, après un No prayer for the dying pas transcendant et l’arrivée du petit nouveau Fear of the dark (« The best IRON MAIDEN album that is ever been » selon Bruce attention hein ?!).

 

Et nom de Dieu de nom de Dieu ce Be quick or be dead bastonne tant comme rarement depuis une éternité chez MAIDEN qu’on y croit à mort, on annonce même une date à Béziers, arrête tes conneries, si j’te jure, bordel, mais le lendemain c’est la rentrée, c’est con pour toi, oui je vais mourir, adieu.

 

En attendant, le blues Nodding donkey blues signé MAIDEN c’est un peu mais-pourquoi-ont-ils-fait-ça-les-mecs-là mais on s’amuse bien, surtout le groupe, heureusement que suit la reprise de Space nation N°5 de MONTROSE qui vaut le détour avec un Dickinson toujours aussi versatile.

 

On finit par un message totalement inutile de ce dernier qui comme d’habitude tente de se la péter en français trente secondes pour finalement grand-bretonner lâchement.

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