Chroniques CD
20
Mai
1999

Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note !

Quel est donc ce « petit changement » au programme de ce quatrième opus ?

Déjà au niveau du line-up, depuis Nighthawks at the diner seul reste à bord le bassiste Jim Hughart, entouré cette fois d’une pléthore de musiciens (violes, violons, violoncelles ainsi que de nouveaux batteur et sax). Ensuite Tom Waits a définitivement la voix éraillée qu’on lui connaît, il s’en sert même comme d’un instrument par exemple sur le félin Step right up où il s’amuse à un liaison dangereuse entre scat et toast rap. L’univers du musicien, folk de gueule de bois jazzy, glisse lentement vers le destroy tout en restant follement séduisant. L’alliance, étrange, du râpeux de cette voix-papier-de-verre et des mélodies issues de son cerveau génial ont un effet unique. The piano has been drinking (not me)... Vraiment Tom ? En tout cas on tient là un formidable recueil de chansons inoubliables. Death-y-dément, ça devient une habitude...

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