Chroniques CD
15
Sep
2017

Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note !

[Publié à l’origine dans Le Tafeur N°69]

Damien ou la malédiction de n’avoir que quelques lignes pour décrire ce qui s’apparente à un regard sur sa production passée, strié soudain par une lumière qu’il semble avoir recherchée dans les pires méandres, par exemple celui d’une confrontation avec un public qui n’est souvent que le déguisement d’un mal-être général et pas vraiment l’expression d’une folie qui pourrait, par miracle, se déchaîner et exploser en libération définitive.

DIAPSIQUIR, c’est fracasser les barrières-étiquettes en restant vrai. Mais aussi rester seul, discuter avec soi-même, pourquoi justifier, éclaircir ce qui semble une œuvre cohérente pour son auteur ? Un retour tordu vers Dieu, au temps d’un athéisme de complaisance.

ÇA c’est punk.

https://necrocosm.bandcamp.com/album/180

A propos du groupe, on a aussi ça en rayon : DIAPSIQUIR [Fra] Virus S. T. N. (Necrocosm) 2005, DIAPSIQUIR [Fra] Pacta daemoniarum / Crasse (Hospital Prods) 2009, DIAPSIQUIR [Fra] A.N.T.I. (Necrocosm) 2011 et DIAPSIQUIR [Fra] Lubie Satanique Dépravée (Necrocosm) 2003 Réédition 2014.

Les mots-clés :

Quelques chroniques en vrac