Chroniques CD
02
Nov
2018

Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note !

High time ou le morceau le plus incroyable du rock français,

le Johnny B. Goode sous amphétamine par excellence qui botte pour l’éternité le cul à tant de prétendants du même pays, pour toujours condamnés à reproduire la même bouse préfabriquée quand Bob lui chantait, et continue de le faire, avec ses TRIPES.

L’urgence des premiers brûlots, la sérénité des suivants, autant de pages d’un livre qu’on se régale de compulser, ce double best of donne de plus l’envie - toutefois jamais vraiment éloignée du cervelet - de ressortir un album en particulier et de le balancer sur la platine à fort volume. Puis un autre… Ce sont ici pas moins de neuf disques (sept studio, deux live) que l’on redécouvre en partie, sur la période STORY de LITTLE BOB mais aussi, troisième disque oblige, le film Rockin’ class hero (qui donnera lieu à un article particulier cette semaine), un adorable bonus de luxe.

On récapitule : ce beau digipak contient deux disques bourrés jusqu’au goulot (quatre-vingt + soixante minutes, y a de quoi faire) et un DVD, un livret chouettement illustré (photos, affiches, flyers…) est aussi inclus, à tous ceux à qui on a offert un disque pourri à Noël, courez l’échanger contre celui-là, vous ne le regretterez pas, et on vous parle bientôt du dernier LITTLE BOB BASTARDS, arrivé lui aussi dans la boîte.

En attendant, vous pouvez aller jeter un œil aux nombreux articles concernant Bob en cliquant sur ce lien : https://www.nawakulture.fr/index.php/rechercher?searchword=Little%20Bob&searchphrase=exact.

Rock on Bob, see ya on the road !

http://www.littlebob.fr/

  

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