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Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note ! |
Du rythme de galère qui chaloupe et tabasse au thrashy effréné,
ATOMIZER nous embarque dans ses filets à coup sûr avec ce deuxième album 1 où, pas de surprise, les ancienne et nouvelle école de black metal s’entremêlent toujours comme deux vipères pour mieux faire pénétrer le venin du Diable dans le sang des innocents.
L’album - onze titres - se retrouve avec cette réédition agrémenté d’un toujours inutile fourreau cartonné mais surtout de six titres bonus : quatre sont tirés de la démo 2001, on trouve aussi une reprise du classique de VENOM, Black metal. Justement, si le trio anglais devait avoir un fils forcément illégitime à présenter au monde, il pourrait avoir la tronche de la horde australienne tant le metal noir des origines a eu un impact sur ses vomissures soniques, affublées parfois de titres hilarants ; nos préférés resteront pour toujours Jesus Christ a saviour? Ha! et He couldn’t save himself (How do you expect him to save you?). Même sombrissime, l’humour, dans un milieu notoirement gangréné par les « idéologies » naziabondes, c’est toujours ça de pris.
1 on a causé du premier ici : ATOMIZER [Aus] The End of forever (The Devils Own Records) 2000.
Certaines images peuvent choquer les âmes sensibles.
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