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Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note ! |
[Publié à l’origine dans Maudit Train-Train N°9]
Même si parfois le tempo écrase ici le champignon (People around me), pas besoin d’une crête bleue, de clous placés par Maman sur le perfecto et d’une 8°6 à la paluche pour faire son punk. Le punk rock historique ne se revendique pas comme tel, il se contente de l’ÊTRE en essence. Pas besoin de jouer comme un pied, de gueuler comme un veau et de chanter faux pour faire son punk.
Le punk fait ce qu’il veut sans suivre les modes, les codes, les érode même à coups d’innovations persos, ose les collages (tiens, y en a dans le beau livret) de pop, de rock, de c’que tu veux, sculpte sa pierre brute et la transforme en une pointe de lance diablement efficace pour déclencher chez l’auditeur un séisme à deux pattes, le persuader que quarante minutes de vie, après tout c’est pas la mort, et…merde, on est déjà à la fin qu’une mystérieuse main rappuie sur Play.
Le punk c’est le temps perdu en bonnes choses, fuck the rest.
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Certaines images peuvent choquer les âmes sensibles.
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