Chroniques CD
24
Oct
2019

Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note !

Chouette intro digne d’un inquiétant film d’aventure, puis la stupeur :

l’école « néo » metal n’a donc pas disparu corps et âme, à l’instar de la vague djent, genres dont nous nous sommes toujours tenus éloignés pour l’insoluble question des goûts et des couleurs.

L’originalité de l’entité RÂGARÂJA réside dans son succès d’allier gros groove, haute technicité sans esbrouffe, discrètes sonorités exotiques, textes en français et production imposante.

Pour le reste on ne peut que vous inviter à aller vous faire votre propre idée, l’ensemble est extrêmement bien foutu (joli couverture au passage) mais à des années-lumière de notre propre sphère de compréhension.

Dites, par contre, si on peut se faire maître, se comparer à Baudelaire, c’est pas très malin. Enfin bon, c’qu’on en dit hein…

https://ragaraja.bandcamp.com/album/egosphere

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