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Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note ! |
Les trois Jean de Nantes (+ bientôt un Bernard, arrivé juste avant la sortie du disque) se forment à la fin des années 1960
et sortent plus tard ce premier recueil (au passage, le titre du disque est le premier nom du groupe, raccourci plus tard) où ils proposent à la fois leur version de chants bretons mais aussi de traditionnels écossais, irlandais et québécois, mais aussi des références à la légende arthurienne, au moyen d’une large batterie d’instruments typiques (cuillers, flûte irlandaise, guimbarde, bodhrán, guitare, contrebasse, violoncelle, harmonica…) et d’un quadruple chant abordant également le français et l’anglais. On sent chez le groupe le besoin d’exprimer la joie et le besoin de faire danser son public ainsi que sa passion dans sa transmission de la mémoire du monde celtique.
Les tubes nationaux Tri martelod et Les Prisons de Nantes ainsi qu’un programme sans faute sur ces deux faces feront de cette galette (vite épuisée) un maxi-classique du renouveau de la musique bretonne initié par une vague de très grands artistes tels qu’Alan Stivell, le pionnier accompagné à l’époque de Dan Ar Braz avant la carrière solo qu’on lui connait, ou encore Gilles Servat.
Pochette ouvrante avec les paroles entre autres
Certaines images peuvent choquer les âmes sensibles.
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