Chroniques cinema
08
Déc
2011

Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note !

Genre: comédie française à l'américaine, à moins que cela ne soit l'inverse...

Scénar: son agent apprend à Jeanne qu'elle va avoir droit à une super augmentation de salaire, en effet, l'actrice américaine qu'elle double en français cartonne à bloc avec sa série et signe pour une autre saison. Cependant la fameuse actrice, Jennifer Marshall, décide après une rupture de laisser tomber sa carrière. Au grand désespoir de Jeanne qui décide sur un coup de tête de partir aux Etats-Unis raisonner Jennifer, qui ne l'a jamais rencontrée, et la persuader de continuer la série. Elle n'est, comme tout le monde peut s'en douter, pas au bout de ses peines même si sur place elle rencontre Farres, un petit futé qui semble avoir ses entrées dans le milieu du cinéma.

Julia, tout est réuni ici pour faire de ce film un (petit) carton chez les amateurs de comédies légères, aux rebondissements absurdes et aux tandems électriques: ici, contrairement à ce que l'on peut entendre ici et là, le duo Foresti-Debbouze - même si on eut pu en douter - ne fait pas dans le désagréable, reste cantonné dans son domaine de prédilection que l'on ne prendra pas la peine de décrire, on voit les deux partout tout le temps. Evidemment quelques scènes sont là pour marquer le jeune public (Jamel qui tente d'endormir des hyènes reste une des meilleures, sans oublier les bad boys amerloques qui craquent sur un morceau de Diam's ou le tenancier de l'hôtel bourré de tocs) mais ce n'est pas cela qui fera de ce film sans (?) prétentions un futur nominé à la Palme. Mais si Hollywoo ne casse pas des briques à un canard, il fera sans doute passer un bon moment aux allergiques au cinéma expérimental russe des années 50. 

 

© GED Ω - 08/12 2011

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