InterviewsLes propos des interviewés n'engagent que leurs auteurs.
20
Nov
2017

[Publié à l'origine dans Le Petit Agenda Aude-Biterrois de mai 2017]

Mylène Blacksshark, une photographe d’exception

La première fois qu’on est tombé sur le travail de Mylène, on est en même temps tombé amoureux d’un monde photographique qui met au défi temps et espace, ouvrant comme une sorte de parenthèse visuelle vers l’au-delà, le plus loin, le plus haut d’une vie que certains, comme l’auteur de ces lignes, trouvent le plus souvent terne et uniforme.

Alors bien sûr tout n’est pas bucolique là-dedans, les gueules cassées et les aliénés, les blessés et les morts sont sujets récurrents d’une œuvre souvent sombre. Mais veuille noter, auguste lecteur, que tout ceci n’est absolument pas dénué d’espoir et d’amour. La Nature comme cadre primordial, le retour à son culte et son respect (deux façons de nommer la même chose ?) sont aussi des fils rouges qu’il serait temps de suivre à titre personnel chacun chez soi.

Autodidacte bien que descendante d’une famille de photographes depuis des générations, Mylène ne laissera personne indifférent, trouvera forcément des adeptes avec une telle honnêteté dans l’esprit et une telle détermination à créer. La dame expose régulièrement ses œuvres 1 et n’a peur de se confronter à aucun regard, n’hésitez pas à suivre ses pérégrinations sur https://www.facebook.com/blackssharkphotography/ et à aller contempler les innombrables galeries de http://www.blacksshark.com/

1 voir par exemple Mylène Blacksshark - Sorcières à Toulouse, La Mécanique des Fluides.

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