Du sel, ouais, cool.
Encore ! Stéphane Guillon, l’humoriste bourrin, corrosif, appelez-le comme vous voulez, dézingue l’ami DSK qui je crois n’en est pas à sa première lapidation médiatique. Un gars qui a du pouvoir doit pouvoir être brocardé, de la manière la plus acide possible, je ne vois pas où est le problème quand on sait l’espoir d’électeurs, systématiquement déçu par nos amis les beaux parleurs. Rien que pour ça mes agneaux, morfler par les mots, fussent-ils crasseux, est la plus gentille des punitions par rapport aux envies que j’éprouve souvent à l’écoute quotidienne de mensonges flagrants de l’élite molle des assemblées / ministères divers et variés.
Quand un éminent journaliste comme Jean-Michel Aphatie, que je respecte profondément par ailleurs et à qui, même, je voue une admiration (presque) sans bornes, se met à pleurnicher sur le sort du ministre vert-galant, j’avoue n’y rien comprendre. En démocratie, on se tutoie, on se rudoie, à défaut de ressortir la guillotine pour la moindre broutille.
Satan m’empale, mais où va-t-on ?