Chère Fred Vargas... C’est vrai qu’on a dansé...
Et certains continueront sûrement, dégoûtante élite qui éloigne toute idée de paix, peut-être même pendant (regarde juste maintenant... Mad-off, fou dehors...?) cette Troisième Révolution à venir. Et rien n’empêchera la planète d’organiser sa vengeance, mais de manière naturelle, comme un chien s’acharne sur les puces de son dos, la Terre chassera ses propres microbes d’un grand coup de balai sismique, et elle aura bien raison.
Cette vilaine par contre, dans son agacement, oublie souvent qu’elle tape aux endroits les plus fragiles de l’âme humaine : le Tiers-Monde souvent, déjà à terre, qui avec courage n’en blâme pas ses dieux mais le devrait peut-être. Alors que le nombre pourrait dire qu’il serait si simple de virer les nantis et prendre une place au sein de continents choyés, genre, suivez mon regard...
Quand la colère remplacera la foi, c’est déjà le cas un peu partout à petite échelle pour le moment, tremblez petits épargnants, tremblez traders de mes deux, vous apprendrez fort vite que l’argent, quand on est mort, n’est pas très utile. On allumera les bûchers avec des billets verts, et dans un dernier accès de violence, la danse reprendra. Une danse frénétique, un pogo infernal maëlströmique qui n’épargnera rien. Ni personne.
Et des hommes sans yeux s’étonneront de la tournure d’une vie basée sur des illusions de pouvoir, ni dieu, ni maître, ni esclave n’en réchappera.
L’espoir reste, s’il tend la main, accordez-lui cette danse, sans trop en attendre peut-être...?