Mais alors…
[rebelote, oui, le môssieur auvergnat et capricorne est têtu…!]
Personne n'a donc remarqué les DEUX CENTIMES que l'essence prend discrètement CHAQUE JOUR à la pompe ?
On fait un flan justifié des malheureux connement fermés, désœuvrés, découragés (même si certains touchent par contre des aides / indemnités confortables, intermittents compris, les témoignages affluent) mais qui lèvera donc le poing pour le con qui se lève et va bosser le matin à distance puisqu'il n'a pas le choix ?
N’est-ce pas là l’argument, cette LIBERTÉ POUR TOUS DE CIRCULER À PRIX DÉCENT ET FIXE, qui réunirait les partisans de la lutte de tous bords ?
La désunion des forces est ce qui mine leur ampleur, leur influence, leur crédibilité.
Je ne comprend pas ce monde, FORCÉMENT puisque je continue à rouler à pieds. Mais cet état de fait me révolte au plus profond des tripes d'où il fallait qu'il sorte.
Soutien total et indéfectible aux lieux de culture, dealers d’émotions et de douce folie. Encore faudra-t-il pouvoir y accéder quand une brouette de billets ne suffira plus pour un litre de carburant magouillé avec les empereurs énergétiques, les plus grands voleurs de la création, affidés à la gent politique la plus malhonnête qui soit (achtung : pléonasme !)…
Le coup de la pompe dans la fourmilière mérite une réponse à la mesure.
Télégrève générale !!!!