"Je désire revoir le visage de ma mère et mon école et me mettre en rang comme un enfant, et laisser mes hymnes galoper sur le sol",
voilà ce que disait une calligraphie d’un des plus grands auteurs arabes, Mahmoud Darwich. Celui-ci nous a quittés hier à l’âge de 67 ans, bien loin de sa Palestine natale, à Houston, Texas.
Épris de paix, il n’a pas fini de pleurer son pays. Lui qui dénonçait déjà depuis longtemps les luttes intestines entre les différentes factions islamistes... Bon voyage et passe le bonjour à Youcef Chahine, un autre grand ami de la paix.
© GED Ω - 10/08 2008
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