Il faut toujours que ça tombe sur moi !
Tu as le malheur de causer oiseaux le matin 1, et crac le soir qui suit le premier regard qui tombe parterre (le même que celui d’Anaïs, elle aussi abonnée au truc) mène tout droit à la vision de trois frères tombés du nid, trois petites boules de plume tellement mignonnes que ce n'est pas possible. Et, une fois de plus, quelques appels et messages « sociaux » n’apportent qu’un itinéraire détaillé vers l’impasse de l’incompréhension…
Quoi faire du coup ? Ben rien, une voisine me dit que chaque habitant du village a au moins essayé une fois de soigner ou de sauver une de ces satanées hirondelles mais que personne n’y est jamais parvenu, peine perdue donc, de toute façon vu ce que l'affaire des gêneurs à plumes déclenche comme réaction vives et négatives, les oiseaux ne sont pas près de gagner les élections ! On a désormais une rue à éviter pour ne pas se retrouver triste comme les pierres.
De registre changeons avec cet aprèm l'interview d’une artiste peintre argentine, María Romano, qui nous inspire carrément plus que ce malheur abandonné au bord du chemin. Hm, en parlant du chemin, espérons qu'il ne sera pas battu comme plâtre par la pluie vu la drôle de couleur façon menace qu’est en train de prendre le ciel qui réserve death-y-dément bien des surprises : bon, eh bien remanque, tant mieux !
Le jardinet sera arrosé et la récolte succulente, youpi, car il faut bien qu'il y en ait de temps en temps, des youpi, non ?
En vous souhaitant !
1 voir Un bol d'air au Helder : XX - Coccinouille se fout de la norme, Un bol d'air au Helder : XXI - Ah beaux dégâts, beaux dégâts ! et Un bol d'air au Helder : XXII - Veirem...ben ?.
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