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Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note ! |
Après le rugissement d’une moto 1, les gémissements de plaisir (?) d’une femme…
Et bam, Warlord, tuerie heavy au tempo généreux, MANOWAR a malgré ses mésaventures passées finalement trouvé hospitalité chez Music for Nations et réussi sans faste aucun à enregistrer un second album au son ne rendant pas toujours justice aux compositions mais tant pis, l’essentiel est là, avec de plus un batteur donnant l’impressionnant de taper encore plus fort que le précédent, ce qui n’est pas peu dire.
Le style MANOWAR se précise, sa grandiloquence épique et guerrière fait de certains de ces sept longs morceaux de vrais romans à tiroirs d’heroic fantasy (avec certes beaucoup d’illustrations) : Secret of steel (Conan, sors de ce corps !) bien sûr, mais aussi Gates of Valhalla, Gloves of Metal (un putain de classique, « Leather, Metal, Spikes, and Chains ! », dont un clip fut tourné, voir ci-dessous), Hatred, Revelation (Death's angel) et March for revenge (by the soldiers of Death), ouais, t’as raison, c’est tout le reste de l’album, monument heavy, doom, épique, power, aaaaargh ! !
Une couverture impayable à ajouter au trousseau (Joey, vraiment t’es l’plus fort) et l’aventure des quatre cavaliers de l’Apocalypse sonore continue ! Et on note d’ailleurs les naissances de fan-clubs officiels signalés par le groupe dans le livret : États-Unis, Pays-bas mais aussi, terre à saluer…l’Angleterre !
We fight to the Death. To the last man.
To the last breath.
Death to false metal
Into glory ride
Et toc !
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Certaines images peuvent choquer les âmes sensibles.
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