
![]() |
Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note ! |
Malgré une énième pochette over-pourrie qui faire purement frémir l’instinct,
Wild child rassure, Rudi a ressorti la vraie grosse gratte du placard, les SCORPIONS vont piquer à nouveau ! Sauf que le refrain totalement formaté radio (et ces cornemuses assez absconses…) ne convainquent pas des masses à la longue. Mais on frôle carrément l’épouvantable avec des machins poppy et l’avalanche de ballades à la But the best for you, Does anyone knows, Soul behind the face, Oh girl (du plus beurk des BEATLES au rock FM le plus mièvre malgré des parties de guitare qui bombardent ici et là), When you came into my life : les refrains marchent, le reste n’est quasiment que du vent. Et ça fait mal.
Stone in my shoe tape un peu plus dans le rock (très pop) mais sur un total de onze titres, le constat n’est pas brillant, on a bien les glandes qu’il n’y ait plus de venin nulle part chez la bestiole allemande, pas étonnant que le succès commercial et artistique soit partout montré du doigt, voilà une bonne grosse tâche sur une discographie jusque là respectable (clique sur le nom du groupe, on a passé tous les disques au crible).
Certaines images peuvent choquer les âmes sensibles.
Ne partez pas sans avoir "aimé la page", retrouvez tous les articles, vidéos et reportages sur votre mur. Soutenez Nawakulture en vous abonnant à la page Facebook et en partageant les chroniques.