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Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note ! |
S’il est vrai qu’en concert l’ami Blaze Bailey peinait méchamment sur la période Dickinson
(mais beaucoup moins sur les morceaux de l’ère Di Anno), sur album sa prestation au sein d’IRON MAIDEN est plus qu’honnête. Et les morceaux décriés par les vieux fans ne méritent pas ce traitement. Futureal est un puissant morceau bien lourd, le très WHOThe angel and the gambler tient la route, Lightning strikes twice est à cheval entre glace et feu, joue avec les ambiances, The clansman est une longue pièce épique à ranger dans la collection costaude de Steve Harris (qui signe ou cosigne 7 morceaux sur 8), When two worlds collide est un morceau à la tierce qui aurait pu trouver sa place sur Somewhere in time, The educated fool est à vrai dire un peu monotone, peut-être la faute à cette batterie toute plate, Don’t look to the eyes of a stranger est un peu construit comme Mother Russia et ne cartonne pas plus que ça, Como estais amigos est le morceau le plus faible de l’album, entre power-ballad et passages très heavy poussifs. Un des albums les plus mal illustrés de l’histoire de MAIDEN.
Certaines images peuvent choquer les âmes sensibles.
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