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Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note ! |
[Publié à l’origine dans Abus Dangereux N° 128]
Le (post) hardcore dans une version totalement désespérée, l'adjonction d'élément sludge / doom (voire post-black metal si si si) n'allègent évidemment pas la tambouille qui n'évoque pas vraiment la joie des pignoufs de touristes se précipitant dans l'eau de mer où, rappelons-le, c'est dégueulasse, « les poissons baisent dedans » mais plutôt celle de la salle d'attente d'un cancérologue un jour de gros mal de gorge. En dehors de cette relative joie de vivre, NO OMEGA se révèle fort efficace dans la dévastation du système auditif, le hurleur ne s'économise pas et les compositions sont solides. Voir ceci sur scène est désormais dans la liste des choses à faire.
Certaines images peuvent choquer les âmes sensibles.
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