Chroniques vinyles
25
Juil
1999

Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note !

C’est vrai qu’on est loin de l’époque d’avec l’affreux Ike, mais comment résister ?

Car les fans acharnés de Mad Max comprendront le geste fou de sauver ce single volontiers sirupeux du bac à soupe. D’abord pour la pochette, rappelant bien sûr l’univers du troisième (mais pas forcément génial) épisode de la saga post-apocalyptique.

Alors tant pis pour cette surdose de synthétique, ces claviers abominables en tête (wah la flûte de pan…), tant pis aussi pour ce saxo moisi, il reste tout de même le feulement légendaire de Tina, avant qu’il ne soit pollué sur la fin par les chœurs d’enfants et les synthétiseurs.

La face B contient la version instrumentale du même morceau qui ne présente du coup absolument aucun intérêt si ce n’est remplir la face. Quand on vous dit qu'une bonne pochette fait vendre !

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