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Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note ! |
Cinq ans entre The Razors edge et Ballbreaker,
six entre ce dernier et Stiff upper lip et enfin sept jusqu'à ce nouvel album sorti lundi, on n'y croyait plus. Puis vint le single. Pas franchement transcendant, ce single. Rock'n'roll train, c'est son nom, n'est pas le meilleur morceau de l'album et rappelle les pas super glorieuses années 80 pendant lesquelles le groupe australien avait perdu son et (inestimable) batteur, puis ses fans.
Ballbreaker (1995) avait sonné le vrai retour à du costaud : hard rock bluesy avec les évidentes guitares virtuoses et ce chant aigu au papier de verre. Sur ce Black Ice (« Glace noire », qui a dit titre à la con ?!), les morceaux s'enchaînent et au fil des écoutes font leur chemin vers le cerveau et appellent à casser le plancher en tapant du pied, secouer le bocal et pointer les cornes du Diable vers le ciel. Pas aussi évident que les albums précédents, celui-ci s'apprivoise. Figurez-vous qu'on y trouve même des nouveautés, chose réputée impensable sur un album du groupe ! Des sonorités limite Radio Rock US ou encore des grattes qui rappelleraient carrément ce bon vieux Pete Townsend des WHO.
Les rockers de la mort qui tue se sont déjà procuré ce disque, les autres iront jeter une oreille. Et pour ceux qui ont eu de la chance on se voit à Bercy en février !!! Yeaaaaaah !!
Certaines images peuvent choquer les âmes sensibles.
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