
![]() |
Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note ! |
Un disque overpop que ce Paradis perdu.
Sur une base où le groove s’avère primordial, des influences post-rock (Haut et fort), folk (Home) ou disco / funk (Paradis perdu) viennent parfois apporter des couleurs vives à des morceaux au filigrane souvent mélancolique.
Pas pleurnicharde pour un sou, la pop pugnace et sophistiquée de ROTTERDAMES risque bien d’hameçonner à la fois les fans de mélodies accrocheuses, de chanson française et de danse avec ce premier album sorti à la suite d’un financement participatif qui convainquit son public à le faire éclore.
En dehors du spectre habituel de Nawakulture, journal des barbares devant l’Éternel, Paradis perdu mérite néanmoins que l’on se penche sur son cas en cas d’appétit pour un cocktail rappelant parfois Christophe Willem, KYO, RADIO ELVIS ou M mais chacun trouvera d’autres noms, ce n’est pas vraiment notre rayon après tout, creusez-vous donc la tête un peu, ça changera !
Certaines images peuvent choquer les âmes sensibles.
Ne partez pas sans avoir "aimé la page", retrouvez tous les articles, vidéos et reportages sur votre mur. Soutenez Nawakulture en vous abonnant à la page Facebook et en partageant les chroniques.