Chroniques CD
29
Oct
2000

Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note !

Tout à fucking fond, la rage impitoyable de spécialistes de la destruction auditive

se déchaîne une cinquième fois sur une monde qui ne mérite que ça ! Les paroles des suédois sont comme d’habitude lapidaires et pessimistes au possible, voire même très réalistes si on peut se faire maître.

Dans l’extrême violence déployée ici, Cliff et sa bande trouvent le moyen de créer des morceaux accrocheurs, casant même ici et là des bribes de mélodies. Que les fans de DRILLER KILLER ne s’épouvantent pas pour autant, And the winner is… est dans la stricte lignée des disques précédents 1. Pour les néophytes, imaginez une horde de Huns sous speed rejouer les début de DISCHARGE avec le matos de MOTÖRHEAD ou pensez aux glorieux ancêtres ANTI CIMEX. Apparition à noter de Thomas Fisher (VIU DRAKH) sur le bien nommé Legalize murder now.

À part les logos de labels et les mentions correspondantes, cette édition américaine est identique à celle sortie par Osmose en 2000.

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