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Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note ! |
Wow, ça faisait une paye qu’on n’avait pas eu de nouvelles des anglais (entre autres) de MEINHOF,
plus précisément depuis leur premier album qu’ils nous avaient envoyé (en 33 en plus !) en 2006 1.
Leur dernier méfait montre qu’ils ne se sont pas calmés depuis et que le punk métallique façon crust est toujours au programme des vingt prochaines minutes. Il y a quelque chose de plus posé au niveau des tempos et des structures, moins d’urgence et plus d’efficacité, l’ensemble sonne beaucoup plus metal (Asteroid, The Anarchist…) que dans nos souvenirs embrumés malgré des attaques crust / D-beat régulières (Into the void, The Demigod of war, The Worm, No hope no change, Rush of blood…).
On aime particulièrement bien ici quand les deux facettes sont réunies comme sur Fight and die ou Rotten graves, comme si les cloisons imaginaires entre DISCHARGE et BOLT THROWER avaient été enfoncées à coups de latte, le paradis en quelque sorte pour qui adore les deux univers. Sinon, tortionnaires, le larsen final est mortel, argh, nothing will remain, but rotten graes… And dead fucking ears !
De l’objet en lui-même ils ont aussi fait quelque chose de fort joli, ce digifile sobre est très beau, particulièrement quand on le déplie pour pouvoir profiter entièrement du visuel superbe de Cold mind.
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Certaines images peuvent choquer les âmes sensibles.
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