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Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note ! |
Ici on n’est pas là pour remplir les étagères de disques gratuits,
on fait ça par passion depuis quasiment vingt ans, alors quand quelqu’un nous propose une rondelle sortant un peu trop de l’univers nawakultur’Hell, on prévient honnêtement que ce n’est pas trop la peine de l’envoyer ici, autant économiser des frais de port dans le difficile contexte actuel.
Sauf qu’il y a des disques têtus qui se font tout de même un chemin vers les boîtes à lettres avec l’aide du hasard, tel celui de JIMM à qui on avait auparavant personnellement recommandé de ne pas prendre la peine d’un envoi. Envoyé à un autre magazine, il me parvint quand même ensuite au milieu d’autres albums.
J’en parlerai donc rapidement - ici on écoute et chronique consciencieusement TOUT ce qui arrive - car c’est vraiment sans conviction que nous goûtons sur la platine ce mélange certes fort bien exécuté de rock / pop français et de sonorités (« néo ») metal, voire punkoïdes. N’appréciant pas vraiment ni l’un ni l’autre, on conseille aux fans des genres évoqués d’aller faire un tour sur le site de JIMM pour se faire leur propre idée.
Certaines images peuvent choquer les âmes sensibles.
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