Chroniques CD
08
Oct
2014

Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note !

Putain, les histoires des droits sur les noms de groupes, c’est pas beau, donc passons.

L’intro inutile passée, boum, le death metal ultraditionnel est de sortie et la voix légendaire de L. G. Petrov (R. I. P.) mène vers le champ de bataille les troupes, entièrement, tant qu’à faire, composées de transfuges d’ENTOMBED, of course : Nico Elgstrand, dont il fut successivement bassiste (2004-2010) puis guitariste (2010-2014), Olle Dalhstedt (batteur entre 2006 et 2014) et Victor Brandt, (bassiste entre 2010 et 2014, sévissant actuellement chez FIRESPAWN).

Le tempo est lourd et massif, suffisamment lent pour avertir que le rouleau-compresseur n’est pas là pour faire de prisonniers mais bien pour faire des obstacles, de chair et de sang ou pas, de jolies crêpes pour les charognards avant de souffler tout ça à vitesse organiquement raisonnable. Kill to live, après tout, n’est-ce pas là une des lois les plus logiques de la Nature, même si on aborde le cas d’une infortunée laitue ?

Le son de guitare est bien heavy-demment gras comme antan, le rythme général accrocheur à souhait, les mélodies vénéneuses comme elles se doivent de l’être et si on n’a pas l’impression de vivre le long de ces onze titres une révolution musicale, on ne l’attendait pas de toute façon, on savait même exactement ce que l’on voulait et on s’éclate à secouer le bocal et les genoux comme un pantin téléguidé in musica par le Diable lui-même,

Pandemic rage ?! Tu m’étonnes !!

Bang that head and shut the fuck up !!

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