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Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note ! |
[Publié à l’origine dans Le Tafeur N° 61]
Pas besoin d’être devin, il suffit de zieuter la pochette pour qu’arrive au cerveau, même partiellement détruit, l’affreux mot « sleaze », voire le terme « glam ». Mais ce n’est pas tout à fait ça. Car ces messieurs se déclarent surtout héritiers des STOOGES, du punk rock new-yorkais des origines etc. Alors si la pochette laisse présager un affreux machin à forte teneur en maquillage, en cuir et en couleur léopard, on a tout de même droit à quelque chose de moins crispant que les « gros cheveux » eighties. Ceci dit, pour être franc, dans ce deuxième album il est impossible, comme dans les autres, de retrouver l’urgence des précurseurs, et les clins d’œil ne suffisent jamais à sonner authentique. Il faut aussi vraiment aimer cette voix, c'est à vous de voir. Next please.
Certaines images peuvent choquer les âmes sensibles.
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