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Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note ! |
Attention, manœuvres de chars d’assaut au programme !
PARTY DOZEN oblitère d’entrée l’auditeur avec une mixture massive de doom, de psychédélisme stoogien et de free jazz (imagine Fun House joué par les montpelliérains de VERDUN !) avant de brouiller les cartes au moyen d’un bordélisme typiquement no wave. Le duo austr-alien s’y entend pour secouer les frontières, les étiquettes, les ambiances et est à réserver en priorité à ceux qui considèrent que la liberté artisitique est le principal quand on empoigne son instrument. Celui-ci est ici affublé d’effets biscornus pour mieux encore plonger le public dans une délicieuse confusion post-tout. Mais où veulent-ils donc en venir ? Personnellement on s’en fout, peu importe le véhicule tant que l’on fait des tonneaux et PARTY DOZEN vous garantit de sacrées secousses entre deux perchages lancinants. Et le fait que Monsieur Nick Cave soit de la party sur Macca The Hut est un argument de plus quant à la valeur du groupe que l’on exige désormais de voir sur une scène où il doit faire des merveille(ux trous dans les tympans)s !
Certaines images peuvent choquer les âmes sensibles.
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