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Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note ! |
On n’arrêtera jamais la machine KILLERS !
Ces Cités interdites contiennent encore un paquet de classiques de heavy / speed en français, cette fois-ci chantés par Bruno Dolhéguy qui devient définitivement LA voix de KILLERS suite au départ inopiné de Serge Pujos après Résistances. Une autre particularité à noter, le groupe comprend en cette année 1991 pas moins de trois guitaristes : outre Bruno, Pascal Soria (le frère du batteur Patrick Soria) et François Merle se partagent ici les six-cordes. Et on peut effectivement constater des parties foisonnantes sur cet album qui se distingue nettement par une approche plus technique et moins brute que les précédents, plus mélodique aussi, surtout au niveau des chœurs, même si on peut tout de même compter sur un album de pur METAL, comme d’habitude, même si peut-être moins spontané. L’Armée de la Mort, le hargneux No man’s land, L’Aigle noir (surprenante et détonnante reprise de la grande Barbara), Questions de conscience, Les Cités interdites... Encore un beau recueil de beignes !!
Nota bene : cette version Brennus présente, contrairement à l’original de chez Sydney Prods le mixage initial que le groupe préfère à celui sorti à l’époque. Et toc.
Certaines images peuvent choquer les âmes sensibles.
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