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Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note ! |
Bon ok, JUDAS PRIEST : oubliés tous les reproches, oubliés tous les concurrents,
Freewheel burning efface tout, on recommence à zéro, I love you Birmingham, on le voulait ce festival d’hellectricité jouissif, au tempo hardéquat en plus, un feu nucléaire qui couvait et explose enfin, ouais on en fait beaucoup mais putain, tu n’as aucune idée du bien que ça fait chez le hardos en pleine crise de gloutonnerie.
Et si en plus ça continue avec le bien nommé Jawbreaker, encore une machine à riffs splendide, The Sentinel (argh !), Eat me alive, le massif enchaînement Heavy duty / Defenders of the Faith et sa batterie qui sonne comme de grands coups de fouet sur la couenne, alors c’est le nirvâna version cuir et clous.
Alors bon, c’est vrai, Rock hard ride free, Love bites, Some heads are gonna roll ou Night comes down sonnent plus pépère, mais rien de désagréable là-dedans, si on savait remplir un album de façon parfaite, ça se saurait, ou alors faut se décider à passer au EP systématique tous les deux ans où là on a peut-être une chance de succès dans l’entreprise rêvée.
Ah, et on est toujours aussi fan de la couverture bien qu’on ne pourra jamais vraiment dire pourquoi. Mystèrrrre !
« Rising from darkness where Hell hath no mercy and the screams of vengeance echo on forever, only those who keep the faith shall escape the wrath of the Metallian. Master of all metal. »
Présomptueux me dites-vous ? En voilà une erreur… C'est du tout bon !
Certaines images peuvent choquer les âmes sensibles.
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