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Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note ! |
Le rock Nineties, Angers sait faire (ZENZILE + DARIA + LAST TIME VOODOO, ça devrait parler à certains),
pas besoin de rappeler un passé overcité en permanence, les musiciens ici acoquinés livrent un album où rythmes tendus, mélodies éthérées post-sketuveux et voix tout en survol se donnent la main, la production solide - effectuée de main de maître par le groupe lui-même - fait de ces dix très bons titres de sérieux prétendants dans la foire toujours vivace du fourre-tout indie rock où la France a très souvent tiré son épingle du jeu, il se pourrait bien que DO NOT MACHINE fasse de même avec un album qui, s’il sait caresser dans le sens du poil au moyen de sonorités nostalgiques et mélancoliques, sait aussi dégainer des compositions punkoïdes d’une puissance phénoménale avec le même talent.
On imagine bien, et il va falloir s’en contenter pendant un moment s’il on écoute les bergers du troupeau, une amplitude décuplée sur les planches. En attendant, on se remet le disque plus fort, il s'y révèle toujours un détail que l’on n’a pas noté la première fois, jolies strates que voilà, à découvrir au plus tôt.
Malgré ce CD promo, c’est bien en vinyle que sort Heart beat nation, si ça c’est pas une bonne nouvelle !
Certaines images peuvent choquer les âmes sensibles.
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