Chroniques CD
02
Aoû
1999

Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note !

heavy metal progressif iron maiden cd

Pour le coup, Somewhere in time mais surtout Seventh son

passent plutôt bien le transfert sur compact disc, l’aspect futuriste et froid (dans le bon sens du terme, celui de l’anticipation dystopique, de l’angoisse d’un futur incertain mais aussi de la science-fiction et du fantastique modernes) des compositions de l’IRON MAIDEN de cette période s’en voit peut-être renforcé, à moins que ce ne soit qu’une vue de l’esprit.

Qu’importe, les morceaux d’un calibre de Moonchild, Seventh son of a seventh son (quel pied que cette longue pièce épique et enchanteresse !), The Clairvoyant, The Prophecy ou l’autre grosse pièce Only the Good Die Young bombardent au moins autant que sur vinyle 1, et c’est bien tout ce dont on avait besoin. Au volume 11, pied garanti !

Heavy-demment, celui qui y perd le plus, c’est le légendaire Eddie de Derek Riggs, ici tout rikiki ! Blasphème !

Up the Irons forever quand même, les plus grands de tous !

1 voir IRON MAIDEN [Uk] Seventh son of a seventh son 12’’ (EMI Recs - 1988).

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