
![]() |
Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note ! |
Ne venez pas nous les brouter avec vos appellations à la noix, « stoner » et autres termes à deux francs (!)
ne devraient s’appliquer que parmi les gens huppés qui ont besoin d’étiquettes qui ne veulent rien dire ou sont à la mode, car enfin on parle ici de HEAVY ROCK psychédélicat et groovy, au sein duquel le punk rock râpeux et le heavy metal du précambrien (BLACK SABBATH sera toujours en tête de la cohorte) ont laissé des stigmates, un passage rappelle même la fabuleuse bande originale de Goldfinger, on verra qui trouve où. L’instrumental, Let the music do the talking tant qu’à y être, aura peut-être fonction d’hypnose, les circonvolutions arachnéennes du trio ont tendance à percher l’auditeur pour mieux le réveiller ensuite à coup de masse dans le tympan. On pense à KYUSS et toute la bande, et pourquoi pas QOTSA, mais ce n’est qu’histoire de repères car en fait ÖFÖ AM possède une identité propre et forte, la houle sonique sur ces deux faces est à affronter au plus vite, d’autant que l’objet a une gueule terrible, y a en même un sur la série qui porte le numéro Ged / 300. Wow.
Certaines images peuvent choquer les âmes sensibles.
Ne partez pas sans avoir "aimé la page", retrouvez tous les articles, vidéos et reportages sur votre mur. Soutenez Nawakulture en vous abonnant à la page Facebook et en partageant les chroniques.