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Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note ! |
[Publié à l’origine dans Maudit Train-Train N°10 - director's cut]
Empêcheurs de tourner en rond, emmerdeurs publics, casse-couilles notoires, DJs beatdown, iconoclastes patentés, crowd-killerz, voilà de quoi vous sustenter : youpi.
Car avec CASSE GUEULE, les choses sont claires : oui, la chanson (anti)pop française peut être sacrément radicale, elle peut virevolter sur des tempos électroniques échevelés en mitraillant de (très longs) textes provocants, massacrer des classiques universels sans vergogne aucune (STEPPENWOLF, PURPLE, LED ZEP, PRIEST sont balancés entre autres dans un broyeur à viande manipulé sous acides), tout ça sans briser les noisinettes de l'auditeur toujours fan d'attitude punk et d'iconoclastie.
Depuis les excellents DIAPSIQUIR et JESSICA 93 on n'avait pas autant accroché à un tel disque qu'on sentait déjà bien en tant que gros fan de B. Ö. C., vous devriez y jeter une écoute, dès la première on se fait aspirer par le maelstrom énervant qu'on attendait. Un disque chouette au point qu'on peut à la fois l'offrir à son meilleur ami et à son pire ennemi. T'as raison, du coup prends-en deux.
Certaines images peuvent choquer les âmes sensibles.
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