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Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note ! |
[Publié à l’origine dans Le Tafeur N°52]
Vu moult fois sur diverses affiches 1, BOB’S NOT DEAD n’a jamais déçu, car le bonhomme a simplement trouvé, et ce dès le début, la recette qui ne peut pas rater : d’abord une voix qui rappelle Renaud (on soupçonne même le Bob de le faire exprès puisqu’on le lui dit souvent depuis ses débuts) grâce à une gouaille railleuse et un ton voyou que doivent lui envier les apprentis punk à grande gueule du fin fond languedocien, des textes bien écrits et marrants, ainsi qu’une « formation » one-man-band qui évite les fioritures au profit d’un côté troubadour moderne. Alors bien sûr que le super son signé Danito, le superbe digipak et les ajouts instrumentaux (accordéon, scie musicale, harmonica etc.) en jettent grave, rien ne vaudra jamais un BOB’S NOT DEAD dégingandé avec sa gratte seul sur une scène. Ce premier véritable album a été fabriqué avec soin, on trouvera même une petite surprise dans le livret, et risque fort de bien marcher tant le public semble accrocher avec les facéties du chanteur. Tant mieux pour lui !
1 voir par exemple SCHÖNE CONNERIE [Fra] + ZOB [Fra] + BOB’S NOT DEAD [Fra] à Montpellier, Antirouille le 29/04/11 et SCHÖNE CONNERIE [Fra] + BOB’S NOT DEAD [Fra] + ZOB [Fra] à Saint-Jean de Védas, Secret Place le 02/02/12
Certaines images peuvent choquer les âmes sensibles.
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