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Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note ! |
Le « nu » metal a fait autant de bien que de mal.
D’abord en condamnant les vieux groupes qui vivaient sur leurs acquis à la limite de l’autoplagiat de disparaître ou d’évoluer. Il a aussi permis à des groupes de la trempe de SLAYER de se laisser pousser des ailes du Sud du Paradis pour atteindre le Nord, territoire des gentils mais aussi des beaux parleurs qui voudraient tranquillement nous faire avaler des anacondas.
Car si cet album recèle encore de parties de guitares qui n’épargneront, comme d’habitude, pas grand monde et des vocaux hystériques, le reste sent le groove pouêt-pouêt à plein nez et des morceaux à la Stain of mind donnent envie de casser l’entière discographie de SLAYER au marteau avant de balancer tout ça dans un poêle afin que tous les petits oiseaux du quartier tombent, raides, des fils du téléphone.
On se contentera, à cause d’un inexplicable amour des volatiles, de jeter ce Diabolus effectivement pas très catholique à la face de l’un des nombreux pignoufs qui polluent nos journées.
Le CD frelaté, projectile d’une nouvelle génération ?
Autre chronique enthousiaste ici : SLAYER [Usa] Diabolus in musica (American Recs / Columbia / Sony Music Argentina - 1998).
Certaines images peuvent choquer les âmes sensibles.
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