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Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note ! |
A entendre les grandes gueules, le dernier QT 1 présenterait un Morricone fatigué ?
La première longue composition L’ultima diligenza di Red Rock résume à elle seule l’univers Morricone tel qu’il s’affiche pour ce dernier Tarantino : menaçant, épique et sournois à la fois, avec des violons lancinants et des cuivres grondants entre autres. L’hypnotique Neve (La Neige) est également un grand moment dans sa version intégrale de plus de douze minutes. Comme de belles cerises sur un gâteau déjà fort appétissant s’intercalent aussi trois morceaux d’autres artistes : les WHITE STRIPES avec le très BEATLESien Apple blossom, David Hess (le court Now you’re all alone tiré de la bande originale de La Dernière maison sur la gauche) et Roy Orbison (la ballade prophétique There won’t be many coming home). Les dialogues épicés rappellent si facilement les scènes, au même titre que la musique, qu’on ne cracherait pas sur un autre visionnage de ce nouveau pavé imparable tant tout sonne authentique et cru. A écouter à donf, le son est dantesque !!
1 : voir The Hateful Eight de Quentin Tarantino (avec Samuel L. Jackson, Michael Madsen…) 2015
Certaines images peuvent choquer les âmes sensibles.
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