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Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note ! |
Ted Nugent ne serait pas doublé d'une insupportable grande gueule
aux idées casse-burnes pour le plaisir qu'elles le soient quand il les étale longuement et à fort volume dès qu'il en a l'occasion, il serait Dieu à lui tout seul, tout simplement.
Car cet incroyable guitariste a en vu passer des cohortes, des pignoufs qui croyaient faire aussi bien que lui. Sauf que depuis ses premières expériences musicales, datant de la fin des années cinquante alors qu'il n'est âgé que d'une dizaine de balais, il explose la concurrence au moyen d'une guitare à la puissance atomique et une énergie à des années-lumières des vieux pachydermes heavy metal qui se traînent sur les scènes comme de vieilles grands-mères sous valium.
Et ce live, aucune surprise, tabasse comme ce n'est presque pas permis, Ted et son groupe fessent tout ce qui bouge avec une sélection de vieux chevaux de bataille imparables souvent issus du premier FABULEUX album de l'homme des bois (Motorcity madhouse, Snakeskin cowboys, Strangehold) mais aussi d'autres classiques des années soixante-dix (Paralyzed, Free for all, Wang dang sweet pootang aaaaaaaargh, Cat scratch fever etc.), on a aussi droit à une paire de titres « récents » qui castagnent également comme Klstrphk et Fred Bear (en acoustique pour l'ambiance « campfire » comme le Nuge le dit).
Avec ce line-up de killer briscards (Tommy Aldridge à la batteuse et Marco Mendoza à la basse) était-il possible de ne pas prendre une grosse tannée méritée ? « Ted Nugent - 100% Live - No overdubs », c'est écrit dessus ok ?! Alors, une fois de plus, pas d'hésitation, sors ta caillasse mécréant !
Certaines images peuvent choquer les âmes sensibles.
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