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Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note ! |
Deuxième album pour ce duo mené par l’ex-bassiste de BUZZOV.EN
qui tient aussi le micro pour une version caverneuse du doom sludge crasseux et visiblement atteint par les choses que fument les musiciens, un peu comme pour les confrères de BONGZILLA, auxquels Dixie a déjà prêté sa basse d’ailleurs. Ces « seize tonnes » se partagent, pour revenir un peu à nos chichons, en dix pistes globalement lentes et grasses comme on s’y attendait, menée par un chant d’outre-tombe, à part sur le folk ultra sombre Woe’s me. Pas besoin d’ajouter que ce genre de réalisations pas super passionnantes ne dépassera sûrement pas les trois écoutes ici, on se voit mal balancer ça pendant une soirée sous peine d’endormissement général. On essaiera encore moins au volant, rapport au risque certain créer un bouchon. Next please. Ou passez au speed. Ou soyez aussi dingues que les parrains EYEHATEGOD.
Certaines images peuvent choquer les âmes sensibles.
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