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Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note ! |
Tu parles d'une entrée en matière avec un morceau pareil de dix minutes, très hard et épique à souhait !
Avec cette galopade incessante (Achilles last stand) on ne pouvait qu'espérer un album d'étonnant, il restera juste étonnant, un peu comme ce mini monolithe casé dans tout un tas de photos cheloues dans le livret du CD, encore une étrangeté que la compagnie Hipgnosis a créée pour l'occasion.
Enregistré à Munich à la toute fin de l'année 1975, Presence semble un peu tourner en rond, For your life par exemple n'est tout de suite pas aussi passionnant que son prédécesseur, il serait presque redondant, et le funk invasif n'est death-y-dément pas notre tasse de thé. Manque de bol (pour rester dans la vaisselle), l'album en est quand même beaucoup parsemé à notre grand déplaisir. Et il se termine sur un loooong blues plutôt du genre soporifique.
Si ce n'était pour quelques morceaux dont le fameux Nobody's fault but mine, on aurait eu beaucoup de mal à conserver cet album de LED ZEPPELIN dans notre gigantesque coffre à trésor.
Certaines images peuvent choquer les âmes sensibles.
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