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Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note ! |
On est souvent en manque de rock progressif blindé,
et on est content que quelqu’un (hello Élo !) ait pensé pour notre toujours gourmande boîte aux lettres (si, ça existe encore, bande de nazes !) à une jolie « petite » friandise telle que The Chessboard, « EP » sacrément surprenant de plus de trente minutes divisé en cinq compositions instrumentales voguant du jazz au hard sans complexe ni avanies techniques.
Les quatre larrons sont en effet des monstres qui plus est non dépourvus de feeling et d’un sens palpable de transmettre leur passion au travers de leur musique sans foncer droit dans la vile démonstration. C’est donc vraiment un petit régal que de se laisser balader comme ce fut le cas pour les rats d’Hamelin d’après la légende germanique.
Le trousseau est d’ailleurs au complet pour le voyage : technique, groove, puissance, ambiances soignées, solennité soudaine zébrant des plages oniriques, scénario science-fictionnel (demi-)dystopique, on en viendrait presque à inviter direct les réalisateurs cinoche de notre réseau à entrer en contact avec le groupe pour une concrétisation visuelle des images que l’on se fait déjà facilement soi-même à l’écoute.
Ces réalisateurs qui se sentent visés savent désormais ce qu’ils ont à faire, on a fait not’ part !
Certaines images peuvent choquer les âmes sensibles.
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