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Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note ! |
On prend les mêmes et on recommence,
et tout ce qui nous avait cassé les noisettes sur le précédent album 1 est de retour en fanfare : ce « metal » nouveau style qui ne pouvait émerger qu’aux États-Unis de tous temps farcis de givrés, depuis copié dans les garages du monde entier avec des instruments pourvus de beaucoup trop de cordes, son groove pas désagréable et ses dissonances marrantes, mais toujours cette faculté systématique de jouer la schizophrénie, un truc lassant à la longue, et on ne se fera jamais à un chant girouette qui passe du pitbull à l’ado brimé en deux secondes.
Du coup, même tarif, même constat que précédemment, on est forcément trop vieux pour cette recette désormais grand public, et puisqu’on en entend partout, on ne se forcera pas à se l’infliger à la maison mon p’tit Géraud, mais c’est tout de même gentil d’avoir voulu éduquer ton aide-éducateur (un putain de comble, non ?), il y a des pas que les dinosaures se refusent de faire, le ver hip-hop qui commence à ronger la pomme là, ben c’est non, et les baggies, ce n’est pas possible dans un univers généralement d’une élégance folle.
Comment ça « tu déconnes là, non ? »
Certaines images peuvent choquer les âmes sensibles.
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