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Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note ! |
Les montpelliérains d’adoption se fendent d’un album furibard et sans concession,
et déclament en douze odes bucoliques leur colère, leur tristesse ou leur joie de vivre sur un tempo toujours effréné (comment veux-tu que le rock ne « suinte » pas là hein ?!) et des riffs hyper efficaces qui entraînent à chaque concert - on en a vu quelques-uns - un risque certain pour les cervicales, voire pour tout le corps quand l’auditoire se décide enfin à sortir les jambes de ses poches. Le polyglotte Fred chante en anglais mais aussi auf Deutsch et même en français, encore la faute au frangin Souflette pour un énième texte que l’on peut d’ailleurs retrouver avec les autres sur l’insert inclus dans la pochette. Autre vieille connaissance autour du projet, l’Elastic Studio de Fred Abrial qui a gratifié le groupe d’un son entre massif et râpeux, tout ce que l’on aime ici. Punk as fuck !
Certaines images peuvent choquer les âmes sensibles.
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