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Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note ! |
Et vas-y qu’ça réédite à tour de bras chez Peaceville,
2000 copies en superbe vinyle rouge cette fois, mais comme pour le premier album (voir AUTOPSY [Usa] Severed survival 12’’ (Peaceville Recs) 1989 Réédition 2009), on ne peut pas tout avoir d’époque donc ne pas se gêner de profiter de cette vague opportuniste pour remplacer les vieilles cassettes qui sonnent parfois bien étrangement rapport à la bande un poil usée sur les bords par toutes ces années de sévices. D’autant que l’objet a de la gueule (gatefold avec textes et collages) et rend bien hommage au fabuleux deuxième album des ricains d’AUTOPSY. Le death punky et mâtiné, bien plus qu’auparavant, de doom sabbathien est death-y-dément un must en ce qui concerne crasse et groove de zombie ivre, qui sonne suffisamment crados pour dissimuler d’excellents musiciens derrière un aspect déglingos. Et comme lors de l’appel guttural d’un puissant prêtre vaudou, on se lève péniblement et on marche sur le chemin décibélique tracé par le groupe, le death metal dans tout ce qu’il a de plus dépouillé et entraînant, le côté sanguinolo-crapoteux en plus. On aime tellement qu’à un moment on a laissé tomber sur la fameuse route une arme que les chroniqueurs n’usent de toute façon que très rarement : l’objectivité. Mais au final, on s’en tamponne le coquillard, today, c’est Slaughterday ! Reaaaaargh !!!
Certaines images peuvent choquer les âmes sensibles.
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