Chroniques vinyles
01
Juil
1999

Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note !

Mamma mia,

passer après l’hénaurme Let there be rock 1, c’est pas gagné et pourtant, AC/DC arrive à persister à sortir des albums merveilleux, Powerage est en effet un autre catalogue de purs tubes, qu’ils castagnent sec (Rock’n’roll damnation, Gimme a bullet, Down payment blues et Sin city et leur basse-ton à la Live wire, merci au nouveau et costaud Cliff Williams, Up to my neck in you…), qu’ils tutoient un hard rock’n’roll plus félin (Gone shootin’, Cold hearted man…) ou développent une violence folle comme les tornades Riff raff et Kicked in the teeth again qui renvoient finger in the nose le punk 77 le plus outrancier se faire cuire un œuf à l’école où l’on désapprend pour faire genre, on ne trouve ici strictement rien à jeter, on approche la perfection si le concept est possible sur une planète où les défauts ont pour nombre d'entre eux leur beauté particulière.

On tient là un des indispensables AC/DC en tout cas, c'est indiscutable. Pochette culte, production monstre, rien à jeter, on a envie de dire « comme d’hab’ ». Argh !!

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