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Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note ! |
La ratatouille fumante, ses couleurs exquises rendent hommage à cette vieille enflure de Bob Marley, vert, jaune, rouge, odeur affriolante...
Le premier coup de fourchette, enfourner le bonheur dans une bouche avide, bordel, c’est fade... Même le fameux piment d’Espelette ne rendra pas le plat jouissif comme il se doit. Que se passe-t-il donc en cuisine ? Le fait d’avoir utilisé des légumes de chiottes y est-il pour quelque chose ? Les ustensiles étaient-ils aussi propres qu’une brosse à trône le dernier jour de la fête de l’Huma ? Ou simplement le cœur n’y était-il pas ? Le fait d’être aussi motivé qu’un éléphant à l’agonie pour faire des pompes explique peut-être le cela. Lemmy et la clique sont bien gentils (enfin on se comprend hein ?) mais caser deux trois morceaux qui bombardent (l’accrocheur Stand, la reprise du Cat scratch fever du Nuge ou encore le duo avec Ozzy, toujours pas empaillé, sur le révélateur I ain’t no nice guy) ne fera pas de ce faiblard « Marche ou crève » un album incontournable de la Tête de Motör. Quand on commence à préférer les pour la plupart immondes bootlegs du groupe à leurs sorties officielles, on peut soupçonner la présence d’un testicule dans le potage. Non ?
Certaines images peuvent choquer les âmes sensibles.
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